La perversité médiatique aurait-elle le pouvoir de contaminer les individus qui la subissent en rendant inexorablement la société perverse ?
En se servant de la définition lacanienne de la perversion, du “vers le père”, pour illustrer notre propos, nous nous interrogeons sur les effets de la substitution de la loi du père par la loi médiatique, effets qui banalisent et surtout légitimisent la perversion, reculant progressivement les limites de son identification.
Mots clés : Médias – perversion – effet “père-vers” – loi du père – normativité - manipulation.
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CV
Doctorat de médecine à la faculté de Médecine de Paris VII Lariboisière – Saint Louis (1974), CES de gynécologie médicale (1976), DU d’études Biologiques, Psychologiques et Sociales des Sexualités Humaines de la faculté de Bobigny en 1990
Gynécologue en exercice libéral à Livry-Gargan
Attachée à l’Hôpital Jean Verdier, dans le service de gynécologie obstétrique depuis 1997
Chargée d’enseignement de l’unité de valeur “Approche psychosomatique clinique” à la faculté de Médecine Léonard de Vinci de Bobigny depuis 1996..
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