L’étude a porté sur un échantillon représentatif d’adolescents américains de 12-21 ans (n = 6,548).
Il existe une probabilité plus élevée de victimisation violente, verbale et/ou physique, chez les
couples adolescents amoureux ayant une relation sexuelle que chez ceux qui n’ont pas de relation
sexuelle : 37% versus 19%. Dans les relations comportant à la fois rapports sexuels et violence,
la probabilité est plus élevée que les rapports sexuels aient précédé la violence plutôt que
l’inverse.
Conclusion : Il est donc important que les programmes d’éducation sexuelle intègrent la multiplicité
des facettes s’enchevêtrant dans la romance amoureuse et la sexualité.
|