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Des rapports sexuels encadrant le transfert embryonnaire pourraient améliorer le taux de grossesses.
En effet, chez l’animal, l’exposition au sperme améliore le développement embryonnaire et l’implantation. Alors que le coït induit des contractions utérines ou favorise des infections qui peuvent avoir un effet délétère.
Pour en savoir plus, les auteurs ont conduit une étude prospective randomisée multicentrique sur 1 343 transferts au cours de 478 cycles avec 107 grossesses (22,4 %), dont 125 embryons vivant à 6-8 SA.
Si aucune différence en termes de taux de grossesses n’a été constatée entre les groupes avec et sans rapports sexuels, en revanche, la proportion d’embryons viables à 6-8 SA était significativement plus élevée dans le groupe exposé au sperme (OR : 1,48). A l’évidence, les rapports sexuels aux alentours du transfert ont un effet bénéfique sur l’implantation et le développement embryonnaire.
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