EN BREF

 

APRES LA CHIRURGIE, LA MENOPAUSE EST PLUS DIFFICILE A VIVRE.

 

Entre femmes ménopausées naturellement et chirurgicalement, de grandes différences existent sur la qualité de vie et la sexualité.
L’enquête réalisée par l’Afem (Association Française d’étude sur la ménopause) et Ipsos, soutenue par Procter et Gamble Pharmaceuticals, avait pour objectif d’évaluer la santé, la qualité de vie et la sexualité des femmes françaises en ménopause chirurgicale auprès d’une cohorte de 604 femmes ménopausées (302 de façon naturelle, 302 chirurgicalement).
De cette enquête, il ressort que la ménopause chirurgicale entraîne davantage de répercussions négatives, tant sur l’état de santé que sur l’état psychologique et le désir sexuel, que la ménopause naturelle.
La perte du désir est particulièrement marquante. Les femmes ménopausées chirurgicalement sont deux fois plus nombreuses que celles en ménopause naturelle à subir une baisse de libido associée à une détresse psychologique (12 % versus 5 %) ainsi qu’une diminution de leur activité sexuelle (48 % vs 38 %) ; 24,04 % vs 14,91 % sont gênées par leur désintérêt pour la sexualité et 12,88 % versus 7,09 % sont angoissées par leurs relations sexuelles.
 

D’après une conférence de presse organisée par l’Afemet
 Procter et Gamble Pharmaceuticals
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