EN BREF

 

DYSFONCTION ÉRECTILE : 
ENCORE DES DIFFICULTÉS A 
EN PARLER A SON MÉDECIN.


La dysfonction érectile (DE) reste encore peu traitée, notamment en raison des difficultés à parler de ce type de problèmes par le patient, mais aussi par son médecin. Or dépister un trouble de l’érection peut aussi permettre de découvrir des pathologies associées chroniques, dont le nombre a tendance à augmenter avec le vieillissement.


La dysfonction érectile, qualifiée de manière péjorative d’impuissance, est devenue une plainte de plus en plus exprimée par les hommes dans le monde (152 millions).
En France, entre 2,2 et 3,6 millions en souffrent. La DE légère à modérée touche environ un homme sur trois de plus de 40 ans.
Parmi les troubles sexuels, c’est la DE qui est la plus responsable de l’altération de la qualité de vie. Une nouvelle enquête (auprès de 5 099 hommes appartenant à la base Access Panel exclusif NFO Infratest) montre que 25 % des hommes ont déclaré une DE ; toutefois, peu (22%) ont entrepris la démarche de consulter ; finalement, 37 % des hommes ayant consulté ont bénéficié d’un traitement. On entrevoit que, malgré toutes les informations disponibles, il persiste encore des freins à la consultation.
Les facteurs incitant le plus à la consultation sont l’intervention du partenaire et le fait que le sujet soit abordé par le médecin.

Ainsi, 94 % d’hommes interrogés déclarent qu’ils consulteraient un médecin si les troubles de l’érection venaient à se répéter après la première panne sexuelle.

Cependant, la plupart attendent que le médecin fasse le premier pas pour aborder la question de leur sexualité.
En outre, la grande majorité des hommes témoigne de la place essentielle accordée au médecin généraliste.

 

Conférence de presse organisée par les Laboratoires Bayer et GlaxoSmithKline, avec la participation du Pr P. Costa (Nîmes) et des Drs F. Giuliano (Kremlin-Bicêtre), S. Mimoun (Paris) et J.-M. Bohbot (Paris).
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