EN BREF

 

Dysfonction érectile : 31,6 % des français concernés après 40 ANS.



Faisant l’objet de nombreuses recherches des dernières années, la dysfonction érectile paraît liée à des phénomènes complexes pouvant impliquer, à des degrés divers, le système nerveux, le système vasculaire, l’équilibre hormonal et des facteurs psychologiques.

Qu’il souffre d’une dysfonction érectile d’origine organique ou psychologique, le patient hésite souvent encore à demander une prise en charge médicale. Cela est probablement le fait d’une méconnaissance des progrès thérapeutiques et d’une résignation quant à son état, associés à l’inévitable gêne à évoquer ce type de pathologie. Or, du fait du vieillissement de la population, on estime que 43 millions d’hommes seront touchés en Europe 2025.
Les résultats montrent que 31,6 % des hommes interrogés présentent une insuffisance érectile, dont 4 % de formes sévères, 7,5 % de formes moyennes et 20 % de formes peu sévères. La prévalence est fortement corrélée à l’âge et est multipliée par un facteur 6 entre la tranche des 40-49 ans et celle des plus de 70 ans.
Quant à la volonté de prise en charge, elle reste très faible, puisque 44 % des hommes déclarent qu’ils ne consulteront jamais pour des problèmes d’érection.
En revanche, elle augmente en fonction du degré de sévérité des troubles. Ainsi, plus de 88 % des hommes présentant une forme sévère ont déjà consulté.

Conférence de presse organisée par les Laboratoires Abbott.
*ADIRS : Numéro Indigo 0825 00 00 10 ; www.adirs.org.

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