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Peu de travaux dans la littérature ont aborde ce point. Paradoxalement, l’arrivée de médicaments très puissants dans cette pathologie (PDE5 inhibiteurs), n’a pas entraîné le développement de ces types d’études. L’absence de remboursement par les assureurs maladie publics ou privés, dans la plupart des pays de l’OCDE, a limité les demandes des tutelles pour la réalisation de travaux médico-économiques.
La dysfonction érectile peut être abordée selon deux principaux axes économiques :
1 Le coût de la pathologie (cost of illness).
Cela intègre le coût du diagnostic, de la prise en charge ainsi que le coût des complications (dépressions notamment) induites.
2 Les études de qualité de vie (cost-utility).
Elles mesurent l’impact des thérapeutiques sur la qualité des patients. Leur réalisation devrait permettre de mieux cerner les bénéfices des traitements et favoriser leur
remboursement.
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