Une étude
internationale* lancée par Bayer Schering Pharma souligne la méconnaissance des
sujets sur l’étiologie possible des dysfonctions érectiles.
La dysfonction érectile (DE) est à tort trop souvent associée au vieillissement,
alors qu’elle devrait plutôt être considérée comme «un signe avant-coureur, un
indicateur d’affections sous jacentes» telles le diabète, l’obésité, les
dyslipidémies.
L’étude réalisée auprès d’hommes souffrant de DE, présentant ou non des
affections sous-jacentes, révèle que 50% d’entre eux n’ont pas connaissance du
lien possible entre DE et pathologies sous-jacentes. 70% ont souligné qu’ils
auraient consulté plus tôt leur médecin s’ils avaient connu plus tôt l’existence
de ce lien. La crainte qu’une autre maladie soit à l’origine de la DE apparaît
comme un facteur important dans la motivation des patients à consulter.
Pourtant, les troubles de l’érection ne sont plus un tabou puisque 80% des
patients interrogés ont, d’eux mêmes, abordé le problème avec leur médecin.
Les résultats d’une autre étude (REALISE)**, menée auprès de 74000 hommes, en
situation réelle souffrant d’une DE seule ou associée à des pathologies
sous-jacentes, montrent que le vardénafil permet d’obtenir un taux élevé de
rapports sexuels réussis dès la première dose. Dans le groupe de patients
souffrant de DE et d’affections sous jacentes, un pourcentage élevé de patients
ont été satisfaits de l’efficacité et de l’innocuité du produits (92% des
patients souffrant d’HTA, 91% de diabète) et ou l’intention de poursuivre ce
traitement. |