EN
BREF
FACEBOOK ET LE SEXE.
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Serions-nous tous des obsédés sexuels
impudiques ? C’est ce que nous laisse à
penser une étude de Dan Zarella,
spécialiste des medias sociaux. Déjà, il
avait eu la bonne (ou mauvaise, c’est
selon) idée d’analyser les profits Twitter
et d’en tirer un portrait psychologique
de leur utilisateur.
A l’aide d’un algorithme de sa
confection, il a étudié le contenu des liens et
statuts Facebook
que chaque jour, nous sommes des millions à poster
sur nos walls ou murs. Et, ô surprise, le sexe est, comme
partout ailleurs, vendeur. |
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Les contenus sexuellement explicites ont 90 % plus
de chances
d’être partagés ou commentés que tout autre
contenu. Exception
faite des articles à connotation négative. |
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Le sexe fait parler, ce n’est pas
une révolution. Ce qui est
plus intéressant, c’est la
libération publique de la parole.
Collègues, amis et
familles ont-ils besoin d’avoir
accès ou d’assister à nos
dragues par pokes interposés, à notre dernier test
de sex-toys ou
à nos problèmes intimes ? Chacun est libre de
répondre à cette
question.
Mais le mystère a aussi ses bienfaits. |
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