Inspiré par l’écriture
diaristique fragmentée
et incisive d’un Guibert,
Michel Lobrot s’est prêté
durant quelques années
à l’exercice du journal.
Il en retire aujourd’hui
un texte à la frontière
du document et de l’essai,
où l’intime, le réflexif et
le théorique s’entrelacent
incessamment pour mieux
penser les problèmes
que posent la société
et la psychologie
contemporaines.